En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un chauffeur de taxi pourra répondre à la demande du client pour l'emmener quelque part par : “Sənə sərf eləməz!” (c.-à-d. “Ca ne sera pas rentable pour toi !”)
Une fille avec des talons sur le verglas |
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, des filles marchent avec des talons de 20 cm sur le verglas.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, en réponse à votre demande d’essayer une robe dans une boutique, la vendeuse peut vous demander "Alacaqsınız?" (c.-à-d. “Vous allez acheter ça?”)
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, au distributeur, toute la queue à l'ATM peut regarder sans honte l'écran, où s’affichent votre solde et la somme retirée.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un vendeur peut répondre sans complexe à la question de l'acheteur à l'égard du prix d’un électroménager, que le prix de l’original est celui-ci, et le prix de la contrefaçon est celui-là, reconnaissant par là qu’il vend aussi des contrefaçons.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on peut regarder un film en trois langues (anglaise, russe et azerbaïdjanaise) en même temps - notre doublage, lorsqu’on regarde un film : on entend: “Help!“ (c.-à-d. “Au secours!”), puis “Помогите!” et finalement - "Kömək edin!"
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on voit une poussette de marque Chicco pour 800 euros dans le centre-ville de Bakou, on se réjouit alors bruyamment d’avoir acheté cette même poussette à l'aéroport pour 400 euros, et plus tard, on s'arrache les cheveux en voyant sur Internet qu’à Bruxelles, elle ne coûte que 150 euros.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, à Bakou, un salon de beauté peut s’appeler "Quasimodo".
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, en traversant la rue à sens unique, on a besoin de regarder des deux côtés.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, toutes les remorques à marchandises, de marques comme Mercedes, MAN, etc, sont appelés "KamAZ" .
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un piéton peut remercier un chauffeur pour l'avoir laissé passer sur le passage clouté.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un numéro de téléphone portable peut coûter 37.000 dollars. (p. ex. 211 et quatre chiffres à répétition).
Les montres "suisses" dans un passage souterrain |
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, le bouquet de la mariée peut être attrapé par un ami marié de l'époux.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un client peut offrir au garçon de dîner avec lui pour lui tenir compagnie.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on peut chercher une fiancée en composant des numéros de téléphone au hasard, et il n y a qu' en Azerbaïdjan que l'on peut ainsi trouver.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on peut voir deux Pères Noël, discutant pour avoir la place près du sapin.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un "gentleman" debout à l'arrêt de bus, peut en même temps:
1) Croquer des graines de tournesol
2) Parler au portable
3) Faire un clin d'œil à une fille dans un bus.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, les hôtes, sur le point de partir, et en disant au revoir dans le corridor, peuvent parler si longuement, qu’ils retourneront à la table et continueront la fête.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on peut établir un prix, l'appeler par son propre nom et devenir la première personne à recevoir ce prix.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on peut acheter de la marmelade, dont la date de fabrication n'est pas encore venue.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, un cybercafé peut s’appeler "Disconnect".
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on peut être invité à la noce d’une personne qu’on vient de rencontrer.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, quand un bébé sort de l'hôpital, son père peut inviter non seulement un cameraman, mais aussi des clowns dans une limousine pour amuser le bébé sur le chemin de la maison.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, dans la rue un gars peut simuler une conversation téléphonique, en criant son numéro de manière à ce qu'une jeune fille l'entende en passant.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, à un mariage les mariés peuvent ne pas connaître plus de la moitié des invités.
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, la déclaration "Beş dəqiqəyə gəlirəm" (c.-à-d. “Je viens dans cinq minutes”) doit être interprété comme "Il faudra attendre au moins une demi-heure ".
En Azerbaïdjan et nulle part ailleurs, on s’envoie des SMS de félicitations à la veille du jour férié, craignant que le réseau mobile ne soit surchargé la nuit du Nouvel an.
Traduit par Leila Azimova